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Dubaï


Dubaï

Le départ est pour Dubaï, la liaison avec la Capitale des Gaules est maintenant bien établie. Il faut dire que le nombre des touristes Français qui vont vers Dubaï est en constante augmentation. C'est vrai, cet Émirat intrigue, l'occasion était trop belle. Je connais peu de chose des Émirats Arabes Unis, sauf qu'ils se sont fédérés en 1971...Abu Dhabi est le plus vaste  des 7 émirats. Il occupe 88% de la superficie et la ville d'Abu Dhabi est aussi le siège du gouvernement et de l'administration centrale.  
Dubaï est aujourd'hui la ville la plus importante des EAU.



Partis en cours de soirée, notre cigare volant est un Boeing 777/300, confortable et solide sous les turbulences, arrivée à 5 heures locales, pas moyen de dormir mais pas possible de voir le trajet. Le temps d'apprécier la beauté et la courtoisie des hôtesses pour un service sobre mais efficace. Justement notre hôte Kitty fait partie de cette confrérie de rêve de beaucoup de clients, son mari Sakhr, est lui, pilote....Pas sur la même ligne. Ils ont eu le temps de faire une petite Jasmin  qui est jolie comme un cœur. Une fois débarqué, la tête un peu dans le potage, il a fallu trouver la voiture.


Formalités de police et de douane rondement menées, ils ont l'habitude des touristes et des hommes d'affaires. Un peu de cash pour un change net de 3,67. Ils n'ont pas peur des gros billets, j'en ai deux de 500 dirhams....ainsi, la liasse n'est pas épaisse. 

Un café tout de même pour goûter au pays. Un peu amer et pas donné le Costa. Je ne sais pas s'il est lien avec la compagnie des cruisers. Côté prix, le ton est donné...Le hub est énorme et assez dispersé, navette spéciale pour trouver la voiture. Le bureau ne ferme jamais.  Les équipes se succèdent pour assurer le service de location. Il semble que l'on travaille beaucoup et longtemps ici...

Les Emiratis sont reconnaissables , ils ont seuls le droit de porter l'habit traditionnel. Comme au Maroc les dames ne sont pas toutes voilées mais la symphonie de couleurs est bien moins grande. Les bédouins semblent s'en tenir aux couleurs blanc et noir. Nous avons pris un GPS avec la location, cher et pas commode...Malgré les explications de Kitty nous avons eu beaucoup de mal à trouver notre chemin.  La tête toujours dans le sac, j'ai eu du mal à me mettre en mode anglais. C'est marrant, il me faut faire un effort pour m'y mettre alors qu'en espagnol c'est instantané. Vous voyez que le foot a du bon pour apprendre une langue!


À vrai dire dès la sortie de l'aéroport ont est sur une autoroute au milieu du désert. Du sable partout , même sur la chaussée. le temps est clair, pas de nuage , l'air est comme à Agadir, doux et un peu salé. Il semble qu'il ait plu récemment. Radio guidage intense pour trouver "The Villa". Kitty nous y attend, avec le temps que l'on a mis, elle a failli manquer son avion du lendemain! Même si on paraît à l'aise en partant , nous avons sans doute un peu de crainte et le premier jour tout ne se passe pas bien, vous connaissez cela sans doute, n'est-ce-pas!


Toujours est-il que nous avons fait récupération. C'était nécessaire: 36 heures sans dormir j'avais besoin de fermer les yeux, Françoise aussi. La villa qui nous attendait est superbe, Kitty, jolie, joviale et chaleureuse. Café d'accueil et visite de nos pénates...et tous les conseils pour bien vivre nos 3 jours d'escale.... 



La résidence: énorme, class et ... posée en plein désert.
 
Le jardinier doit aussi être greenkeeper car pas une herbe ne dépasse. La pelouse est mieux taillée que les derniers fairways que nous avons vus. 


Un supermarché est présent sur la résidence, une première visite s'impose pour le petit déjeuner de demain. Le temps de nous restaurer un peu chez l'italien de tradition, pour la spécialité du cru: crevettes et pâtes avec et sans gluten. les résidents sont très en avance sur les problèmes alimentaires semble-t-il. Ce sera confirmé au super marché! En fait, c'est comme si nous étions en pays de connaissance, les étals sont comme en Californie et les fruits et légumes viennent tout droit de là-bas! Même présentation et tout et tout. Vraiment, le monde est petit...
Réveil avec le jour, nous avions perdu l'habitude. Petit déjeuner comme chez nous et en avant pour faire les touristes. Nous n'avons que deux jours pour voir quelque chose. Rien de mieux que le bus touristique pour trier afin de cibler l'essentiel du lendemain. 
Depuis quelques années, en suivant le Dubaï Desert Classic de golf, j'avais vu quelques images mais là nous venons de prendre ne grande claque dans le dos: Dubaï est époustouflant. Une agglomération de projets, tous plus énormes les uns que les autres.


Les architectes et bureaux d'études ont laissé libre cours à leur imagination. C'est plus, plus, plus... Cheikh Rashid a lancé l'économie de la ville en ne prenant pas le pétrole pour argent comptant. Il a été visionnaire en faisant un port efficace aussi bien pour le pétrole que pour le fret; puis il a misé sur le tourisme et le commerce. Chaque Emirat est indépendant, mais en lien avec le conseil de gouvernement la discussion est ouverte. Politiquement l'ensemble paraît plutôt bien fonctionner. L'effort est colossal du point de vue des infrastructures. Les gains d'espace sur la mer sont considérables et ont donné lieu à des projets pharaoniques. J'ai noté avec un grand plaisir  que l'Emirat de Dubaï faisait aussi un énorme effort de formation, l'éducation représente 21% du budget...

La plus belle utilisation du parapluie dans un pays où il ne pleut pas.....
Facile de trouver le Parking Cinéma.....Petit clin d'œil à Olivier* qui pourrait décider d'y venir en limousine un jour, à moins qu'il n'achète un pur-sang arabe, autre joyau de cette couronne. Entrée magnifique dans "The Dubaï Mall" par l'allée des parapluies. Si le luxe c'est du détail, alors vous allez en avoir plusieurs couches! 

Pour l'instant nous n'avons vu que cela en quelques kilomètres de sable et de joyaux d'architecture. Dans ce centre commercial: des joyaux tout court. Des bijoux de  toutes les grandes firmes du monde, New York, Paris, Londres, Milan, Tokyo.....








Tous les plus grands joailliers sont       là; les horlogers aussi et en prime, les grands créateurs de mode. Tout est tiré au cordeau, nickel et bichonné. Pas une once de poussière, rutilant. Passage par la Galerie du  Souk, c'est extravagant. Il n'y a pas les babioles traditionnelles mais les "carrossas" sont bien chargées et les hôtesses vigilantes. Elles ne laissent rien au hasard, ni leurs ongles ni leur maquillage. Les touristes ne vont pas tarder...

* Olivier? Fils de Françoise.

En premier, nous sommes partis vers Jumeirah et son hôtel Burj El Arab, luxueux 7 étoiles; depuis 1999, il garde fière allure sur son île artificielle mais il est déjà supplanté par le JW Marriott Marquis.  Inutile de dire que les calculs , études et brevets déposés pour de telles réalisations ont du être nombreux... Partout, à chaque fois je suis éberlué de voir sortir du cerveau des hommes de telles réalisations. Cette voile semble un immense vaisseau sortant de l'eau , élégant et racé, magnifique d'allure, sans doute porteuse d'avenir.

Vous savez que le monde est malade....Je crois que Dubaï a décidé de nous soigner tous. Entre les cliniques , les labos, les dentistes, les centres de santé toute la route en est truffée. Vous allez devoir faire un effort pour venir. Le projet santé fait sans doute parti de tous les autres. Centre d'affaires , mais aussi quartier des hautes technologies, avec Microsoft, Ibm, sans compter le jardin des miracles... Nous avons décidé de ne pas y aller; être ici en ce moment en est déjà un!

Photo internet.  Je n'avais pas les moyens de faire mieux !!!!
Plus loin, arrêt sur le premier Palm Islands Jumeirah. Il existe depuis 2009. Réalisation de sable et de roches pour permettre de bâtir un ensemble de marinas, d'hôtels et de résidences. Nouvelle image emblématique de Dubaï. Franchement, vu de près c'est bluffant, propre, bien fini. Ce pourrait être irréel mais c'est bien là où les hommes l'ont voulu. Les autres projets sont en cours: Palm Deira, Palm Jebel Ali... Chaque construction de grand ensemble  est typique avec son caractère. Ma surprise est que ce soit bien construit. Quand je me souviens des réalisations du projet EMAAR d'Amelkis, je n'ai pas l'impression d'avoir à faire avec le même promoteur... Tout au bout  de l'île artificielle, l'Atlantis nous attend avec ses courbes arabesques sans doute pour rappeler à chacun que nous sommes bien en... Arabie.

Sur le retour de Palm Islands Jumeirah, arrêt  dans  une autre grande cathédrale  commerciale: "Mall  of the Emirates". 223 000 mètres carrés, une station de ski. Pas étonnant que des lignes de hautes tensions apportent l'électricité dont l'agglomération à  besoin. Le dubaïote semble un grand consommateur du produit phare d'EDF.
      Ce n'est pas une image de Nouvel An mais une vue sur la cathédrale des neiges de Dubaï


Petit en-cas entre deux bus de visite. Puisque les USA sont les défenseurs des EAU selon un contrat  officiel, nous pensions déjeuner chez Oncle Chen, mais non c'est son cousin Chang qui est là. On adore la cuisine chinoise, celle-ci est un peu plus chère. Ce doit être le sable qui ne facilite pas la préparation. Service rapide, grand sourire et   grande  attention   du  personnel,  courtois et efficace, l'expresso un peu fort.... et toujours le  plaisir  d'être  pris pour un client.


Tous les grands de la mode sont dans les galeries du Dubaï Mall. Voici le stand Vuitton avec ses sacs géants, qui servent de lieu d'information des clients. La boutique est juste à côté, et..., il y a du monde qui attend  comme à Paris. 

Le Dubaï Mall, sans doute un peu jaloux de son concurrent et sa station de ski, a ouvert une patinoire. Les enfants y jouent et les matches de hockey s'y succèdent, selon l'heure du jour.

En route pour le parcours rouge, dont nous prenons le bus au milieu de sa course. Passage devant Emirates Tower et petit frisson devant les Twin Towers tout de suite après. Impossible de sortir ce nom et les images de la mémoire. Les immeubles ont des formes qui les différencient les uns des autres, comme des marques de voitures. Le Cheikh et ses équipes ont dû se régaler de choisir parmi les projets qui leur ont été proposés. Les gratte-ciels sont impressionnants ici , ils sortent réellement du sable et se dressent d'un seul coup.






Passage sous le canal  derrière le terminal des Cruisers. Au moment où nous sommes passés, 4 étaient à l'ancre. Quelques touristes de plus....On laisse le souk de l'or et celui des épices, grands marchés au bord de l'eau. Les quais regorgent de bateaux chargés jusqu'à la gueule d'épices qui embaument l'air ambiant. Le tout grouille de monde, marins, négociants et touristes. La queue pour traverser le canal en bateau taxi traditionnel nous effraie un peu. Nous préférons continuer  vers   Deira City Center  puis nous traversons le canal sur Al Maktoum. Nous avons laissé le Musée, créé en 1071 pour présenter les us et coutumes traditionnels des bédouins. Le fort d'Al Fahidi est tout proche. Sur le quai, un boutre est aussi présenté pour rappeler l'activité primaire des marins émiratis. Ils étaient pêcheurs de perles. Très prospères jusqu'à la fin du XIXème siècle. En créant les perles de cultures, les japonais ont fait péricliter cette spécialité dans tout le Golfe Persique. Mondialisation...!

Le boutre est une des nombreuses inventions diffusées par les arabes. Ce bateau robuste réservé au transport peut facilement accoster un peu partout. Il a été diffusé sur la plupart des mers du monde jusqu'à Madagascar et sur les côtes de la corne de l'Afrique. Les chercheurs de perles s'en servaient aussi. Ce bateau peut atteindre 33 mètres pour les plus grands. 

Le voyage nous permet de longer la ligne de métro. Les stations ont des lignes futuristes. De formes ogivales tout est fait pour que les voyageurs soient confortables. Tout est climatisé, en été il fait très chaud ici. En ville, nous avons oublié le désert, mais il est bien présent. Plus de 40°C régulièrement. Le désert crée des effets climatiques importants et génère des coups de vents très violents, surtout la nuit. Le sable semble en suspension dans l'air, on peut penser que le nombre de voitures, souvent énormes ( à l'américaine) qui de plus roulent très vite et un peu n'importe comment, apporte aussi un peu de pollution...Pour une fois l'expérience du Mellah de Marrakech me sert bien. Ici cependant, les vélos sont dans les résidences ou sur le circuit mais pas dans les rues.

Au soir de ce premier jour, nous sommes un peu abasourdis..., tout est trop. Pas vraiment de mot pour le dire. Créer un développement similaire est d'une bravoure extrême... Le Cheikh a décidé et tout le monde semble lui emboîter le pas. Les personnes qui viennent travailler ici, mais aussi les investisseurs. L'équipe EMAAR, un des constructeurs importants doit être gigantesque. La puissance de l'équipe de vente du Projet de l'Emir de Dubaï est incommensurable. Les grandes marques ne sont pas que dans un seul centre commercial , elles sont partout. Les conditions d'accueil doivent faire envie à de nombreux entrepreneurs et particuliers. Tout est neuf et en bon état. La route , le sable et des immeubles...Je crois que les gens d'où qu'ils viennent travaillent beaucoup. Même si l'on entend que des projets ont pris du retard à cause des crises monétaires successives, les projets restent vivants. Comme si l'idée directrice du patron de l'Emirat se faisait sentir partout. Je ne vous cache pas que cela fait une drôle d'impression. J'ai déjà senti cela a un moment de ma vie et cela me manquait un peu. Il doit bien y avoir un revers à cette médaille, mais en deux jours c'est un peu court pour trouver ...

Retour de nuit vers la maison, histoire de trouver un peu nos esprits, et bing, je me loupe....direction Abu Dhabi par l'autoroute. C'est très dur d'avoir loué très cher un GPS qui est une "trapanelle", un truc ancien qui ne connaît pas les nouveaux villages sortis du désert. On a fait au pifomètre mais nous avons trouvé ce que nous cherchions. Les villages des travailleurs des chantiers. A la suite des immeubles grandioses, passage en zone pavillonnaire cossue, puis zone industrielle et habitations populaires. Beaucoup de monde dans les rues pour la vraie vie... Nous retrouvons de choses connues, le linge au balcon et des paraboles mais ici souvent collectives... Plus de 5000 mosquées dans les EAU. Nous en avons vu de très belles, celles d'ici sont plus rustiques mais bien entretenues et très  fréquentées, vu le nombre

de chaussures qui attendent leurs propriétaires à la tombée de la nuit. Les cars et vans réservés au transport attendent sagement le lendemain matin... C'est vendredi: jour sacré.



Kitty est partie travailler vers Toronto, Jasmin est sous bonne garde et Sakhr, n'est pas encore revenu de son voyage, c'est le chat qui nous réveille...Rien à manger pour lui et je ne sais pas parler chat...Heureusement il a manifesté clairement: quand j'ai fait la vaisselle, une coupelle d'eau l'a calmé. Il s'est mis à ronronner à mes pieds. Mais je ne savais pas s'il était heureux de son sort ou s'il faisait une crise d'asthme.
La marina de Dubai dans le brouillard. Un réel scoop!


La nuit n'a pas porté conseil et ce matin encore je balance entre l'idée de refaire un tour en bus ou d'explorer plus avant Burj Khalifa. Nous décidons revenir   à  Dubaï Mall. A y être, monter tout en haut! 138 étages au dessus de la mer, ça vous donne un autre regard. Cela fait cher le greenfee mais on a pas bu une seule goutte d'alcool depuis trois jours. L'altitude pour se griser dans le désert des bédouins, rien de tel!
Salon VIP, montée réservée et protégée, contrôle des sacs comme à l'aéroport, tout y est. Halte au 125 ème étage, puis ascenseur privé pour le 138. Rafraîchissement et accueil 5 étoiles...

Alors que nous sommes partis avec une brume tenace de la maison, arrivés en haut, elle se dissipe. Le spectacle est ainsi animé et nous paraît irréel. Je vous laisse regarder les photos de Françoise. Pas besoin d'en dire plus...Descente plus d'une heure après.






































Dubai continue d'empiéter sur la mer....Au fond dans la brume, "The world" gigantesque réalisation.
Burj Kalifa ça se mérite...












Vu d'en haut Burj Khalifa est superbe, mais d'en bas, il est majestueux. Un énorme stylo planté dans le sable tel nous paraît le nouvel emblème de Dubaï. A sa base, son environnement est prestigieux, il semble baigner dans une pièce d'eau. Il est entouré d'immeubles modernes mais aussi de résidences au design arabe plus prononcé. C'est cela qui est amusant ici: l'œil vous attire un moment vers Tokyo, Kuala Lumpur ou New York et vous ramène tout de suite aux fondements de ce pays.




Un tour à l'Aquarium pour passer le temps. Bel exploit de l'architecte qui a construit l'aquarium sur plusieurs niveaux. Nous sommes arrivés au moment du repas. Les poissons jouent de leur queue pour asperger les disques de nourriture, les graines tombent dans l'eau, d'où un joli ballet pour récupérer  un peu de pitence. Les faibles ou les fainéants comptez vous!

En fait, on attend, l'animation des fontaines...quelle surprise elle se fait sur la chanson d'Edith Piaf. Je vous jure dans le désert, ça fait pleurer. La nostalgie est ici aussi.  On aura entendu la "Môme de Paname" partout où l'on est passé. Petite taille mais grande dame, un ambassadeur iconoclaste mais rudement efficace. Une preuve que les français pourrait être plus sûrs d'eux.







Deux jours de visite et pas un gendarme à l'horizon. On nous a dit que l'Emir se promène seul dans les rues, sans garde du corps et se présente de manière impromptue dans tous les ministères, pour voir comment les projets avancent. Le pays est administré sous la Charia. Compliqué à comprendre pour les Occidentaux, mais le gouvernement des EAU avance à grand pas vers la modernité. La simplification de l'administration est engagée et...Dieu sait que ce n'est pas donné. Ils ont osé et avancent avec des tas de projets...Quand la France décidera-t-elle enfin de s'y pencher sérieusement? J'avais oublié, il faut trouver des voix, alors on attendra. Les pays n'ont pas non plus tous les mêmes valeurs. Dubaï c'est fini pour nous mais son rêve continue, pour aller où? Je ne sais pas, mais cet Emirat y va.


            Mur d'eau et ses plongeurs pour aller au bout de l'Océan Indien


Rendez-vous en Australie maintenant...


Michel Prieu
Facebook : michelprieugolfpassion@gmail.com

Photos : Françoise Devillechabrolle
Email : francoise.devillechabrolle@gmail.com



3 commentaires:

  1. Bravo Françoise pour les photos. On a l'impression d'être à vos côtés. Bizz

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    1. Merci Carine, tes encouragements font chaud au coeur !!! A bientôt FD

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  2. Couche au fond de mon lit je viens de passer un fabuleux moment à vous lire et regarder vos photos
    Sans la fatigue du voyage c est sur mais frustre quand même un peu
    A plus de vous lire au pays où l ovalie est un mode de vie

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